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Crèche passive - 72 berceaux sur le site des Crayères

Epernay, Marne (51)-FR

Année

2022

Ville d'Epernay

Maître d'ouvrage

Budget

3 946 000 € HT

1 350 m²

Surface

Atelier Amélie Fontaine  (Architecte mandataire)
Jeanne Darrasse (Cotraitant)

Géonomia (BET Généraliste)
Cabinet Ghesqui
ère Dierickx (Economiste)
Etudes bois du barrois (BET Structure bois)

Art acoustique (Acousticien)

Equipe

La construction de la crèche est l’occasion de proposer une conception bioclimatique et performante pour l’ensemble des locaux. Dans cette optique, l’équipe propose une construction compacte, qui préserve un grand jardin. Des patios et des jeux de toiture permettent d’associer cette construction compacte au confort lumineux et à l’ensoleillement.
Deux grandes façades, l’une Nord-Est et l’autre Sud-Ouest, permettent de construire un dialogue avec le paysage d’un côté et le parvis de l’autre côté.
Le principe d’assemblage des unités de vie et des locaux communs permet de composer une crèche très fonctionnelle avec des jeux d’échelles, qui donne un statut d’équipement à l’échelle humaine et familiale. Le jeu de toitures capte la lumière et se décline sur la façade Sud- ouest pour accueillir une toiture productive (panneaux photovoltaïques).
Le parvis constitue une séquence paysagère en lien avec les écoles, il connecte les cheminements existants et renforce les flux piétonniers, tout en permettant un dépose minute simplifié. La rue René Lemaire dont la requalification est planifiée pourra renforcer le dispositif paysager et accompagner la mobilité douce.
La crèche s’installe au cœur d’un jardin, qui offre des scènes sans cesse renouvelées au fil des saisons avec des ambiances très différentes. Le bâtiment met en place des liens forts aux espaces extérieurs : des patios intérieurs protégés, une terrasse prolongeant les lieux de vie, la promenade plantée, l’air de jeux formant un écrin.
L’implantation et la géométrie de la construction prolonge l’école existante et met en place une séquence rythmée avec la rue René Lemaire. La décomposition du volume en 4 bandes successives permet de capter la lumière et de s’insérer avec délicatesse dans le site, en mettant en place des avancées et des retraits selon les bâtiments existants et les orientations. Les toitures en pente s’adaptent au besoin de lumière et de volume.

Concours non-retenu

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